Chanson : Sous les étoiles Emilie Simon

Mon cher petit lion,

Demain c'est ton anniversaire... Je dois prendre mon courage à deux mains et d'appeller. Rien que d'y penser j'ai le coeur tout retourné et l'estomac aussi. Je devrais peut être écire un truc histoire de pas bafouiller sans savoir quoi dire.. Et pourtant tout ne se résume qu'à trois mots "je t'aime". Mais derière eux ils y a tant à dire.

Dans le livre que je lis il y a un passage qui résume ce que mon coeur ressent et qu'il voudrais te dire :

"Elle pouvait l'aimer quand bien même il ne le saurait jamais. Elle n'avais pas besoin de sa permission pour sentir qu'il lui manquait, penser à lui à longueur de journée, l'attendre pour dîner et s'inquiéter de ce que les gens pouvait comploter contre lui. C'était cela la liberté : sentir ce que son coeur désirait, indépendamment de l'opignon des autres. Elle s'était opposée à ses amis et à ses voisins au sujet de la présence de l'étranger dans sa maison. Elle n'avait pas besoin de lutter contre elle même...Elle était libre car l'amour libère"

Je ne veux plus lutter contre mon coeur et ce que je ressens, je l'ai accepté et c'est ainsi...Je n'attends rien en retour et peu m'importe ce qui en ai de ton coté car au fond ça ne change pas ce que je ressent.

Une chanson résume parfaitement la subtilité des sentiments qui guide mon coeur...

PAROLES :

Comme un voilier au grès du vent,
je suis les vagues les goélands.

Je t'attends là, je t'attends là,
Je t'attends là, sous les étoiles,
Le ciel est si grand.
Et j'entends le chant de mon marin,
Sur l'océan, sous une pluie de souvenirs.

Alors je m'endors,
Bercée par les voix du vent du nord,
Je rêve de ton sourire,
Je naviguais,
Même le coeur gros trouve la paix,
Au fil de l'eau.

Je t'attends là, je t'attends là,
Je t'attends là sous les étoiles,
Le ciel est si beau.
Et j'entends le chant de mon marin,
Sur l'océan, sous une pluie de souvenirs.
Alors je m'endors,
Bercée par les voix et vents du nord,
Et je rêve de ton sourire,

Puisqu'il en est ainsi,
Je me remet au vent qui me berce,
Puisqu'il en est ainsi,
A la lune est au ciel gigantesque,
Comme un bateau dans la nuit,
Je suivrais chaque lueurs célestes,
Comme un bateau dans la nuit,

Je saurais bien que mon marin veille sur les vagues, sur les vagues